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Kidnapping trop intensif en Montérégie

Les Centres jeunesse de la Montérégie ont transformé une salle de réunion en milieu de vie pour de jeunes adolescentes, faute de places d’hébergement disponibles.

http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/politiqueprovinciale/archives/2011/06/20110614-033842.html

Sarah-Maude Lefebvre
Le 14 juin 2011

DPJ | Montérégie - Isolées dans un bureau
Les Centres jeunesse de la Montérégie font face à un nombre élevé de demandes et ont peine à répondre aux besoins de tous les enfants.

© Sarah-Maude Lefebvre/Agence QMI

Depuis quelques semaines, des adolescentes âgées de 14 à 17 ans passent une partie de leur journée dans une salle de conférence du campus de Saint-Hyacinthe, un centre de réadaptation voué aux jeunes filles placées sous la protection de la DPJ. Cette salle est utilisée comme « unité temporaire » d’hébergement, puisque le Centre jeunesse croule, actuellement, sous les demandes.

« Quand on a une demande de placement, on ne peut pas dire non parce qu’on manque de place, justifie la directrice adjointe aux Centres jeunesse de la Montérégie Catherine Lemay. C’est à nous de nous arranger avec ça. »

Pas la « solution idéale »

Mme Lemay admet, néanmoins, qu’il ne s’agit pas, là, de la solution « idéale ».

« Le manque de places que nous vivons, actuellement, est temporaire, se défend-elle. De plus, certaines adolescentes nous ont dit qu’elles étaient heureuses d’y vivre. »

La nuit, les adolescentes dorment dans des chambres d’unité intensive, avant de regagner la salle de conférence, au petit jour.

« La majorité d’entre elles n’y passent pas toute la journée, puisqu’elles vont à l’école », souligne Mme Lemay.

Le Journal a pu visiter brièvement la salle en question. Joliment décorée, elle ne comporte toutefois pas de fenêtres.

Des employés à bout de souffle

Cette situation est vivement dénoncée par des intervenants des Centres jeunesse de la Montérégie.

Certains d’entre eux ont contacté le Journal pour dénoncer le manque de ressources dont ils disposent pour faire face à « cette importante pénurie » et pour réclamer de nouvelles places d’hébergement.

Toutefois, pour la direction, il est « hors de question » de créer de nouvelles places, puisque cet engorgement n’aurait « rien de particulier ».

« C’est la folie, et tout le monde agit sous le coup de la panique, confie une intervenante, sous le sceau de l’anonymat. On fait face à un réel problème de surpopulation. »

«Tout est sous contrôle»

L’achalandage que connaissent, actuellement, les Centres jeunesse de la Montérégie est « normal » et relève d’un phénomène saisonnier, affirme son directeur général Camil Picard.

« Les mois de mai et juin ressemblent aux urgences des hôpitaux. C’est très, très occupé ; mais c’est la même chose année après année ; la situation n’a rien d’exceptionnel », explique-t-il.

M. Picard reconnaît, toutefois, que cette situation entraîne un « essoufflement » et une « pression supplémentaire » sur son personnel.

Malgré cela, il refuse catégoriquement de créer de nouvelles places d’hébergement.

« Je n’ai pas l’argent pour ça et je ne le ferais pas même si je l’avais. À part ces deux mois-là, les places resteraient vides à longueur d’année ou on se forcerait à les combler, ce qui n’est pas mieux. »

Hausse inexpliquée

Pour la direction des Centres jeunesse de la Montérégie, cet engorgement n’a aucun lien avec la hausse des signalements observée au cours de la dernière année.

Cette augmentation inquiète et étonne néanmoins la DPJ, puisqu’elle n’est accompagnée d’aucune hausse démographique notable. « On ne comprend pas, encore, complètement ce qui se passe, avoue M. Picard. Est-ce qu’il y a une plus grande souffrance des enfants en Montérégie, ou est-ce qu’on manque de services de première ligne ? Difficile à dire.On est encore en train de déterminer les causes de ce phénomène. »

« Chose certaine, poursuit-il, cela n’a aucun impact sur le nombre d’enfants placés en centre de réadaptation ou en famille d’accueil. Il faut se rappeler que ce sont les dernières options envisagées. »

Quant à la congestion qui touche présentement son réseau, M. Picard promet que la situation se rétablira rapidement. « C’est une question de semaines », dit-il.