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Une grand-mère veut revoir ses petits-enfants

SAINT-ANTOINE-SUR-RICHELIEU - Une résidante de Saint-Antoine-sur-Richelieu a mis sur pied un groupe Facebook afin de revoir ses petits-enfants qu'elle n'apas vus depuis deux ans. Ces derniers ont été mis en adoption en avril 2010 par la DPJ et depuis ce temps, il lui est impossible d'avoir toute nouvelle.

DPJ - Une grand-mère veut revoir ses petits-enfants

Réjeanne Ménard, résidante de Saint-Antoine-sur-Richelieu.

© Yann Canno / Agence QMI

Agence QMI
Mathieu Bédard
06/04/2012 06h20
http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2012/04/20120406-062021.html

SAINT-ANTOINE-SUR-RICHELIEU - Une résidante de Saint-Antoine-sur-Richelieu a mis sur pied un groupe Facebook afin de revoir ses petits-enfants qu'elle n'a pas vus depuis deux ans. Ces derniers ont été mis en adoption en avril 2010 par la DPJ et depuis ce temps, il lui est impossible d'avoir toute nouvelle.

«J'ai téléphoné à la DPJ, ils m'ont répondu qu'ils ne savent pas où ils sont, qu'ils ne retrouvent pas le dossier!, s'exclame Réjeanne Ménard. Je n'ai pas de nouvelles. Ils pourraient mourir d'une leucémie et je ne pourrais même pas le savoir […] Ma fille n'a pas eu de nouvelles. Même pas elle. C'est de l'abus de pouvoir.»

Il y a deux ans, Mme Ménard s'occupait des enfants de sa fille, car cette dernière souffrait d'une labyrinthite. Elle souligne que sa fille était toujours fatiguée et qu'elle dormait tout le temps à cause des symptômes. Puis, en février 2010, la Direction de la protection de la jeunesse aurait demandé à la Cour de confier le garçon de 5 ans et la petite fille de 3 ans en adoption, même si Mme Ménard avait spécifié qu'elle était prête à adopter les deux jeunes enfants. La Cour a tranché en faveur de la DPJ et les enfants ont été mis en adoption dans deux familles différentes en avril 2010.

Très frustrée par cette situation, la dame de 60 ans a créé un groupe Facebook, «RetrouvonslesPetits-enfantsdeRéjeanne», afin de dénoncer certaines pratiques de la Direction de la protection de la jeunesse de la Montérégie. Elle souhaite ainsi prévenir les autres grand-mamans de la façon d'agir dans une pareille situation. Selon elle, les visites de la DPJ à sa résidence n'étaient pas dans le but de l'aider elle, comme les intervenantes lui auraient mentionné, mais plutôt pour enquêter.

«J'ai dit à deux travailleuses sociales (Belœil et Jonquière) que je voulais adopter les enfants. Le contraire était noté sur le jugement de février. La DPJ a dit que je n'étais pas apte à conserver mes petits-enfants; que j'étais seule pour m'en occuper, alors que mon fils vit toujours à la maison […] Ma fille ne les a jamais abandonnés, elle les a confiés [à moi]. Les enfants étaient bien, n'importe qui à la garderie le dira […] On était tellement malheureuses; c'était un choc émotif.»

La dame a tenté de faire annuler la décision, mais faute de moyens elle n'a pu continuer les démarches judiciaires. À la suite de cette situation, Mme Ménard a dû être hospitalisée, puis elle a fait une dépression à l'été 2011. Il y a moins d'une semaine, la grand-mère a voulu obtenir de l'information sur ses petits-enfants, mais rien n'est venu de la DPJ. À présent son seul but est de revoir ses petits-enfants.

«Ces enfants devraient être là avec moi; je veux qu'on me donne la permission de les voir. La DPJ me les a enlevés avec de faux arguments. Je n'accepte pas qu'ils soient dans une autre famille.»

Mme Ménard ne s'est fixé aucun objectif concernant le nombre d'adhésions à sa page Facebook. Elle souhaite seulement que son histoire soit entendue et qu'un débat social soit entrepris.


DPJ Montérégie: seuls les parents peuvent être informés

Pour des raisons de confidentialité et afin de ne pas divulguer l'identité des enfants, la DPJ n'a pas voulu commenter le dossier qui touche les petits enfants de Mme Ménard.

«Ça nous interdit de donner des renseignements à quiconque, explique Gilles Cloutier, directeur adjoint de la DPJ en Montérégie. La loi de la protection de la jeunesse, c'est comme une convention sociale pour s'assurer de protéger les enfants.»

Concernant la réponse qu'aurait reçue Réjeanne Ménard au sujet de la DPJ qui ne trouvait pas le dossier, le directeur semblait surpris que la dame de 60 ans ait pu recevoir ce type de réponse.

«De manière générale, je ne peux pas donner cette information-là; elle ne peut pas être divulguée si ce ne sont pas les parents. Si une mère nous appelait, elle pourrait avoir de l'information.»

Lors d'une adoption, le dossier d'un enfant est ouvert pendant 5 ans. Passé ce délai celui-ci est fermé, mais les parents sont avisés du changement. M. Cloutier a réitéré que le mandat de la DPJ n'est pas de prendre des enfants, mais bien de chercher une famille qui va les aimer et qu'ils aient une vie normale.